« Parole aux tablers » avec Justin LEMOUËL
Salut, moi c’est Justin LE MOUËL, j’ai 32 ans, célibataire sans enfants, originaire de Bretagne (Brest même 😊). Je suis gestionnaire RH pour les Équipements Portuaires Caennais et Calvadosiens.
Questions :
1) Présente toi, quel est ton âge et depuis combien de temps es-tu tabler ?
Salut, moi c’est Justin LE MOUËL, j’ai 32 ans, célibataire sans enfants, originaire de Bretagne (Brest même 😊). Je suis gestionnaire RH pour les Équipements Portuaires Caennais et Calvadosiens.
Je suis Tabler depuis janvier 2020 à la superbe TR 332 Caen Guillaume Le Conquérant, dans la belle Région 3 Normandie.
2) Comment as-tu connu la table ronde ?
J’ai « connu » la Table d’abord de loin, puisque mon frère est Tabler depuis bientôt 10 ans, d’abord à la TR48 de Dole dans le Jura, et maintenant à la TR300 de Rennes. J’entendais parler de loin de ses soirées, de ses voyages pour des évènements Table (AGM la Réunion, Euromeeting Afrique du Sud…), des actionS, sans trop prêter attention, et en me disant « c’est quoi ton délire là ? ».
Arrivé à Caen en avril 2019, je lui ai demandé de me parler plus en détail de la Table Ronde, et de me donner le contact des présidents des Tables de Caen. J’ai rencontré dans la foulée Quentin JOUY, mon 2ème parrain de Table, et l’aventure était lancée.
3) Quelles sont tes motivations à être membre de la table ronde Française ?
N’étant pas spécialement expansif et extroverti, ma 1ère motivation, un peu égoïstement, était de me sortir de cette réserve, rencontrer des personnes pour commencer à nouer des amitiés là où je ne connaissais personne, et essayer d’apporter ce que je peux au service des autres par l’action.
La force de la Table, c’est cette perpétuelle bienveillance et ce sentiment d’inclusion, cette force collective de personnes partageant le même jeu de valeurs, ayant l’envie de faire, que ce soit au niveau local, régional, national et même international.
Alors après avoir expérimenté ça, j’ai simplement l’envie de continuer de faire ces rencontres géniales, l’ami que l’on ne connait pas encore, de mettre en place et de participer à un maximum d’actionS, d’apporter ce que je peux pour faire rayonner notre belle association.
4) L’action qui te tient le plus à cœur et de quelle façon tu y participes ?
J’ai eu la chance d’intervenir dans de nombreuses actions, que ce soit la distribution de repas aux étudiants bloqués sur le campus pendant le Covid ; don du sang gastronome, à faire des crêpes avec les amis dehors sous la pluie, au réchaud de camping ; les différents dons solidaires ; après-midi en centre équestre ou sur l’Orne en bateaux électriques pour les enfants en situation défavorable… Toutes les actionS sont importantes pour moi car on ne se doute pas qu’un geste, petit ou plus important, peut avoir un tel impact, donc j’essaie de m’y investir du mieux que je peux.
L’une de celle qui m’a le plus marqué reste tout de même notre première édition en 2021 des bateaux sur l’Orne (on n’a pas de nom officiel encore :D), où sur tout un après-midi, toute notre table, les anciens membres, et même les impétrants s’étaient mobilisés, les retours des enfants, leurs parents, leurs accompagnateurs, les interrogations des passants.
Avec toute la Table, nous essayons d’en faire un rendez-vous pérenne, dont la prochaine édition aura lieu ce mois de septembre.
J’aimerais également que nous puissions financer un bateau pour les Voiles de l’Espoir.
5) Tu as reçu le prix du meilleur tabler de l’année, peux-tu nous expliquer ce que tu as ressenti et de quelle manière il t’a été attribué ?
Stupeur et béatitude sont les 2 premiers mots les plus adéquats je pense. Je ne m’y attendais certainement pas, et je suis honoré que le Bureau national ait pensé à moi, tant pour moi tellement d’autres méritent bien plus pour leur contribution, leur engagement et le rayonnement de la Table, ce que récompense ce prix.
ÉmotionS par la suite, lors de la remise du prix par le PN Pierre DI MARTINO pendant l’AGM à Nouméa, puis à nouveau à Alençon lors de la passation du collier orange par Grégory BORDET.
Et pour ceux qui se demandent ce que j’ai bien pu faire ! 😀 Je me suis investi au local, au régional, et présent aux évènements nationaux et internationaux (CN, CNR, HYM, AGM…)
6) Ton mot de la fin ?
J’aurais envie de faire écho bancal sur le mal de dos : l’important, c’est le mouvement. Il ne faut pas hésiter à porter des projets, s’investir dans sa Table, dans la Table, aller à la rencontre de ses amis en région, au national, à l’international. Plus on se donne, plus on reçoit humainement.
Et si tu ne nous connais pas encore, viens nous rencontrer 😉
Article rédigé par Benjamin BIONDI | Coopté Communication